Comment les bénévoles en loisirs perçoivent-ils leur organisation ?

En 2012 et 2013, le Laboratoire en loisir et vie communautaire de l’Université du Québec à Trois-Rivières a repris auprès des bénévoles et des professionnels en loisir une étude réalisée 10 ans plus tôt. Cette étude interrogeait notamment les bénévoles sur leur perception de l’organisation dans laquelle ils œuvrent. Cette fiche présente le point de vue des bénévoles en loisir sur leur organisation. En général, leur perception est plutôt positive et dynamique, ce qui est une source importante de motivation et de persévérance dans l’engagement.

Les points identifiés considérés comme les plus forts, soit l’ambiance et la confiance dans l’organisation, devraient inciter les gestionnaires et les responsables des organisations à améliorer ces facteurs importants d’attraction et de rétention des bénévoles.

Les aspects internes de l’organisation les plus significatifs, selon les bénévoles
Inspirés des résultats de l’étude Le bénévolat en loisir, 10 ans après, voici, en ordre de priorité, 10 énoncés qui présentent ce que pensent les bénévoles en loisir de leur organisme dans son fonctionnement interne:

Les orientations sont claires
Il est bien organisé et structuré
Les gens sont motivés
Internet fait partie du fonctionnement de l’organisme
Les bénévoles y travaillent en équipe
Les tâches des bénévoles sont clairement définies
L’information y circule bien
Il s’adapte aux changements du milieu
Les bénévoles sont bien encadrés
Les tâches sont réorganisées en projets limités
Ces énoncés mettent en lumière un certain nombre de conditions et d’ajustements que les organisations en loisir ont adoptés pour assurer le maintien et développement du bénévolat, ainsi que la satisfaction des bénévoles.

Pour en connaître davantage à ce sujet, vous pouvez accéder à la fiche complète en cliquant ici.

L’URLSM souhaite faire la promotion du « Portail des gestionnaires et des bénévoles » réalisé par l’Observatoire québécois du loisir. Chaque mois, vous pourrez lire une chronique.